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vendredi, avril 26, 2024

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Un enfant de six (6) ans perd la vie dans l’effondrement d’une dalle á Yeumbeul-Sud

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Une tragédie s’est déroulée dans la commune de Yeumbeul-Sud (banlieue dakaroise), au quartier Médinatoul Mounawara, dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 avril 2024. Le corps sans vie d’un enfant âgé de six ans a été retiré des décombres de l’effondrement d’une dalle. C’est dans l’une des chambres situées au rez-de-chaussée, occupée par la famille Guèye, que la dalle a cédé, prenant au dépourvu tous les membres de la famille.

Le chef de famille et son épouse ont survécu, mais avec de graves blessures. D’après L’Observateur, le premier souffre de fractures à la tête et de blessures aux côtes, tandis que la dame a été blessée au pied droit. Malheureusement, leur jeune garçon, Serigne Mbaye Guèye, âgé de six ans, a été retrouvé sans vie sous les débris. Son corps a été ensuite acheminé à la morgue de l’hôpital de Pikine.

La police a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cet accident tragique.

Mame Marie THIAM

RAPPORTS DE L’OFNAC,CC : MIMI TOURÉ REFILE LA PATATE CHAUDE À SES DÉTRACTEURS DE L’APR

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Membre de la coalition Diomaye Président, Aminata Touré ancien Premier Ministre encourage vivement les nouvelles autorités à aller jusqu’au bout de la réédition des comptes en commençant par le scandale des 1000 milliards des fonds Covid-19.

Selon l’ancien PM,le Chef de l’Etat Macky Sall est le premier responsable de ce « carnage financier sans précèdent ». Tous ceux qui ont bénéficié de ces fonds Covid doivent être mis à la disposition des organes de contrôle.

« J’ai la prétention de me compter parmi eux et désormais, je saisirai la Justice contre toute tentative de jeter le discrédit sur ma personne », écrit-elle sur Facebook.

Mame Marie THIAM

AUDIENCE AVEC LE SECTEUR PRIVÉ : LA RENCONTRE CONVOQUÉE PAR DIOMAYE FAIT GRINCER DES DENTS !

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e président de la République Bassirou Diomaye Faye reçoit le secteur privé, ce mardi 23 avril. Mais cette rencontre suscite des grincements de dents chez les acteurs du secteur privé. Le président du groupe secteur privé mais également président du Conseil national des dirigeants d’entreprises du Sénégal innovation dénonce sa mise à l’écart. Birane Yaya Wane parle de fausse note de départ du nouveau régime.

« Si le président reçoit le secteur privé, c’est une très bonne chose, c’est une excellence initiative. Reste à savoir lequel des secteurs privés le président va recevoir demain parce qu’il est bien beau de parler de secteur privé mais nous sommes dans un secteur privé hiérarchisé. Il y a le secteur privé institutionnel, il y a celui opérationnel, celui fonctionnel. Lequel de ces secteurs le président va recevoir demain ?« , a-t-il déclaré sur Rfm. « Malheureusement, nous avons comme dénominateur commun de devoir créer énormément de richesses, d’emplois dans un pays où des sénégalais souffrent. »

M. Wane de révéler qu’il a parlé au président de l’Union des chambres de commerce du Sénégal en l’occurrence le président Serigne Mboup qui, dit-il, lui a informé pour lui demander s’il avait reçu son carton d’invitation ou non. « Je lui ai dit que je n’ai pas encore reçu de carton d’invitation et c’était le vendredi dernier. Donc, il paraitrait que même le ministère du commerce n’a pas été informé de cette audience. A l’étape embryonnaire d’un gouvernement qui vient d’être mis en place, c’est quand même déplorable« , a-t-il pesté.

Et dire que si le secteur privé doit être convié à rencontrer le président, c’est le ministère du commerce qui devrait convier les acteurs économiques qui sont les présidents d’organisations patronales à venir rencontrer le président. « Je n’ai pas creuser un peu plus loin parce que je suis quand même un peu dégouté par ce disfonctionnement d’ordre administratif. Il ne faudrait pas inviter les uns et laisser les autres en rade. Ce n’est pas quand-même élégant« , a-t-il conclu.

Mame Marie THIAM

MOTION DE CENSURE CONTRE SONKO : « L’ARTICLE 86 DE LA CONSTITUTION NOUS LE PERMET », RÉAGI LA DÉPUTÉ ADJI MERGANE KANOUTÉ

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Adji Mergane Kanouté s’est invitée dans le débat sur la motion de censure agitée contre le gouvernement du Premier ministre Ousmane Sonko. Selon la députée, l’article 86 de la Constitution permet aux parlementaires de provoquer la démission du gouvernement comme l’avait initié le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi en décembre dernier.

« Ceux-là qui gèrent le pouvoir, c’est-à-dire le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi avaient déposé une motion de censure contre le Premier ministre Amadou Ba. Donc, les parlementaires détiennent ce pouvoir. Lorsqu’ils (Ndlr : pouvoir actuel) l’ont fait, la motion de censure n’a pas abouti à la destitution d’Amadou Ba parce qu’ils n’avaient que 55 voix des votes de l’assemblée. La motion a été rejetée« , a-t-elle déclaré sur Rfm ajoutant que la motion de censure fait partie des instruments de contrôle pour les parlementaires.

La parlementaire affirme que si monsieur le Premier ministre Ousmane Sonko vient à l’assemblée nationale, l’article 86 de la constitution permet aux députés de provoquer la démission du gouvernement à travers un vote d’une motion de censure. « Nous allons d’abord l’écouter sur sa déclaration de politique générale pour savoir si c’est nécessaire de déposer une motion de censure ou pas. Cela peut se faire dans un délai de trois mois. Mais la constitution nous permet de déposer une motion de censure comme ils l’avaient fait au mois de décembre contre Amadou Ba. On en est pas encore arrivé« , a-t-elle détaillé.

Et dire que l’Opposition attend que le premier ministre fasse sa déclaration de politique générale pour découvrir ce qu’il va dire.

Mame Marie THIAM

FOCUS : DIOMAYE ENTRE LE MARTEAU DES PRIX DES DENRÉES ET L’ENCLUME DE LA GESTION DES RECETTES FISCALES

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epuis hier, dimanche, la motion de censure agitée contre le gouvernement du Premier ministre Ousmane Sonko prend de plus en plus d’ampleur. Si le porte-parole du gouvernement estime que voter une motion de censure contre le gouvernement serait ramer à contre-courant de la vision de la majorité du Peuple sénégalais, une telle idée ne semble pas du tout ébranler les responsables politiques de l’Opposition actuelle.

C’est à peine évoquée, la motion de censure, que l’Opposition parlementaire s’est fendue d’un communiqué pour mettre les choses au clair. Dans le document signé par le président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar, il a été rappelé à Moustapha Sarré : « La motion de censure fait partie de la panoplie d’instruments de contrôle de l’action gouvernementale dont dispose l’assemblée nationale. A ce titre, sa mise en œuvre relève exclusivement de la compétence des députés quant à l’appréciation qu’ils feront du contenu de la Déclaration de politique générale du premier ministre [Ousmane Sonko] comme ce fut le cas de la motion de censure déposée » par le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi suite à la Déclaration de politique générale du premier ministre Amadou Ba« .

Dans l’émission Rfm Matin de ce lundi 22 avril, la députée Adji Mergane Kanouté, Vice-Présidente du Groupe Parlementaire Benno Bokk Yaakaar a ajouté un cheveux à la soupe. Elle qui évoque déjà l’article 86 de la Constitution qui, dit-elle, consacre la provocation de la démission du gouvernement, au besoin. Non sans se rappeler du cas Amadou Ba. Même si la motion de censure a été rejetée avec seulement 55 voix favorables à l’époque. Mais comment ne pas penser au « Gatsa-Gatsa », cette fameuse expression derrière laquelle se cachaient les actuels tenants du pouvoir pour solder leurs comptes avec le régime de l’ex-président Macky Sall ?

Le porte-parole du gouvernement semble, d’autant plus mesurer la gravité de la situation que sa réponse, lorsqu’invité [sur Rfm] à éplucher une probable motion de censure, a tiré sur les cheveux. «Je crois que nos amis de l’opposition actuelle, qui sont majoritaires à l’Assemblée nationale, ne commettraient pas l’erreur de déposer une motion de censure», a-t-il tonné indiquant que si jamais il arriverait que des personnes cherchent à faire tomber le gouvernement, ils auraient certainement en face d’eux toute l’opinion publique ; en tout cas la plus grande partie de l’opinion publique du Sénégal.

Moustapha Sarré ne devrait-il pas tout simplement reconnaitre à cette opposition un droit que lui confrère la Constitution plutôt que de parler d’erreur ? Je donne ma langue au chat.

Mame Marie THIAM

Véhicules de fonction : Ousmane Sonko donne une date butoir pour les rendre

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Une injonction qui ne va pas manquer de faire grincer des dents. Le 24 avril prochain est la date butoir donnée aux anciens ministres pour rendre leurs véhicules de fonction. Cette décision est du Premier ministre Ousmane Sonko. Ce dernier demande à tous les anciens ministres de rendre leurs voitures de fonction avant le 24 Avril 2024. La sommation n’a pas encore suscité de réactions chez les personnes concernées.

Certainement, ces anciens ministres de la République attendent que la citation leur soit servie de manière beaucoup plus officielle.

Mame Marie THIAM

Ministère de l’environnement : Daouda Ngom édifié sur ses attributions

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Après certains de ses collègues, le ministre de l’environnement, Daouda Ngom vient à son tour de recevoir ses attributions. « Le décret n° 2022-1801 du 26 septembre 2022 relatif aux attributions du ministre de l’environnement, du développement durable et de la transition écologique est abrogé », mentionne le document.

Ainsi, travaillant sous la coupole du Premier ministre, il est chargé « de la préservation de la faune et de la flore. Il protège les cours d’eau contre les invasions des plantes aquatiques ».
Outre ces attributions, le ministre Daouda Ngom « prépare et applique la législation et la réglementation en matière de chasse. Il veille à la protection des espèces les plus menacées. Il s’assure que la pratique de la chasse ne porte pas atteinte à la survie des espèces et lutte contre le braconnage. En rapport avec les ministres concernés, il œuvre au développement de l’écotourisme. Il préside le Conseil Supérieur de la Chasse et de la Pêche ».

Toujours dans le décret, il est précisé que le ministre de l’environnement outre les assignations citées ci-dessus. Il a en charge « la lutte contre la désertification et celle contre les feux de brousse. Il applique la politique de protection et de régénération des sols. Il aide les collectivités territoriales à faire face à la collecte des déchets et il en assure le traitement. Il appuie les initiatives des collectivités territoriales et des mouvements associatifs en matière d’environnement. Il a en charge le développement de l’éducation environnementale ».

Et pour la réussite de ses missions, il est appelé à travailler en étroite collaboration avec le Premier ministre. Ceci commence, tout d’abord, par la mise en application de ce décret, conformément aux recommandations du président de la République.

Mame Marie THIAM

Ministère de la jeunesse, des sports et de la, culture : Khady Diène Gaye « fixée » sur ses missions

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Le décret portant les attributions du ministre de la jeunesse, des sports et de la culture, Khady Diène Gaye est édifiant. Ce ministère, qui pour la première fois comporte le département de la culture, taille une part belle à ce pan de la société sénégalaise.

Au titre de la culture, beaucoup d’assignations lui sont dévolues. Sur ce volet, le ministre est chargé, entre autres, « du développement des arts plastiques, des lettres et de la lecture, de la musique, de la danse, du théâtre et de la protection du patrimoine national ». Par ailleurs, Il est « responsable du patrimoine culturel, notamment de la sauvegarde des monuments historiques et des sites ainsi que de la conservation et de la mise en valeur des œuvres d’art et du patrimoine ethnographique national. Il veille à une bonne connaissance et à une large diffusion de l’histoire et des valeurs culturelles du pays. Il facilite la fréquentation des musées ».

Au titre de la jeunesse, il encourage « la promotion sociale des jeunes et veille au développement des activités
socio-économiques pour la jeunesse. Il promeut l’entrepreneuriat des jeunes. À ce titre, il contribue, en relation avec la délégation générale à l’entrepreneuriat rapide des Femmes et des Jeunes (DER/Fj) notamment, à l’autonomisation économique des jeunes et de leurs groupements. Il assure la coordination de la mise en œuvre du Programme d’urgence pour l’insertion socioéconomique et l’emploi des jeunes ».

Au titre des sports, il est chargé « de la promotion de l’éducation physique et il encourage la pratique populaire des sports. Il encourage l’émergence de sportifs de haut niveau. Il veille à la réalisation d’infrastructures sportives harmonieusement réparties sur le territoire national. Il s’assure de la participation des sportifs aux compétitions internationales dans les meilleures conditions possibles ».

Le Premier ministre de concert avec le ministre de la jeunesse, des sports et de la culture, conformément aux recommandations du chef de l’Etat dans le présent décret, doit veiller à l’application de ces assignations.

Mame Marie THIAM

Abdou Mbow répond au ministre porte-parole du gouvernement : « toute velléité de menaces devient superflus »

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La réaction du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar ( BBy) ne s’est pas trop fait attendre. Leur président, Abdoul Mbow, a réagi aux déclarations faites par Moustapha Ndieck Sarré, ministre porte-parole du gouvernement à l’émission « Grand Jury du dimanche » sur Rfm.

Dans sa déclaration, le ministre a informé que le Premier ministre, Ousmane Sonko « fera sa déclaration de politique générale, conformément à une tradition Républicaine encadrée par la Constitution ». Dans sa réponse, Abdou Mbow dit prendre acte « de cette volonté exprimée par le premier Ministre qui est conforme à la lettre de la Constitution ».

Moustapha Ndieck Sarré ne s’est pas arrêté là. Il a averti les nouveaux opposants : « les députés de l’opposition sont dans l’obligation de prendre compte des résultats du scrutin présidentiel du 24 mars 2024 pour ne pas être désavoué par le peuple ».

Sur cette question, le groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar rappelle au « porte-parole du gouvernement que la motion de censure fait partie de la panoplie d’instruments de contrôle de l’action gouvernementale dont dispose l’Assemblée nationale ».

A ce titre, ajoute le président du groupe parlementaire, « sa mise en œuvre relève exclusivement de la compétence des députés quant à l’appréciation qu’il feront du contenu de la Déclaration de politique générale du premier Ministre, comme ce fut le cas de la motion de censure déposée par le groupe parlementaire Yewi Askan wi suite à la Déclaration de politique générale du premier Ministre Amadou Ba ».

Dès lors, déclare-t-il, « toute velléité de menaces sur les députés de Benno Bokk Yaakaar devient superflus, voire superfétatoire ».

M. Mbow rappelle au ministre qu’ils ont été « élus au suffrage universel direct », cependant, il invite « le gouvernement à respecter le principe de séparation des pouvoirs qui postule que chaque institution de la République s’occupe de ses propres affaires ».

Mame Marie THIAM

Macky Sall signe un contrat de 459 milliards F Cfa avec les Saoudiens à six (6) jours de son départ

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À cinq jours seulement de l’élection présidentielle au Sénégal, la signature d’un contrat de partenariat public-privé pour la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance d’une usine de dessalement d’eau de mer sur la grande côte du Sénégal a suscité de vives interrogations au sein du Conseil d’administration de la Société nationale des eaux du Sénégal (Sones). Le Président Bassirou Diomaye Faye demande une évaluation approfondie de ce contrat de 459 milliards FCFA signé avec la société saoudienne Acwa Power.

Fraîchement installé, le chef de l’État, ne perdant pas de temps, souhaite un état des lieux de la gouvernance des secteurs stratégiques, tels que l’hydraulique et l’accès à l’eau potable. Ainsi, lors de la dernière réunion du Conseil des ministres, le chef de l’État a non seulement demandé au ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement un audit rapide du contrat d’affermage entre l’État du Sénégal (Sones) et Sen’Eau, mais également d’engager l’évaluation des Partenariats publics-privés (PPP) et de l’ensemble des contrats de délégation de service public de l’eau potable en milieu urbain et rural. Ce, avec un ciblage spécial sur les projets de dessalement des Mamelles et de la Grande Côte développés par la Sones avec la Jica (Agence japonaise de coopération internationale) et Acwa Power (un développeur, investisseur, copropriétaire et exploitant d’un portefeuille d’usines de production d’électricité et d ‘eau dessalée qui a son siège social en Arabie Saoudite).

Selon les informations de L’Observateur, ce dernier contrat intéresse particulièrement le Président Bassirou Diomaye Faye en raison des nombreuses zones d’ombre qui l’entourent. Le Gouvernement du Sénégal et la société saoudienne de référence mondiale, Acwa Power, ont signé, le mercredi 27 mars 2024, au Palais de la République, un contrat de financement, de construction et d’exploitation d’une usine de dessalement d’eau de mer sur la Grande Côte, dans le pôle urbain du Lac Rose, à une quarantaine de kilomètres au Nord-Est de Dakar. Le coût de réalisation de cette infrastructure hydraulique est de 459 milliards de francs CFA (700 millions d’euros). Malgré les réserves émises par des membres du Conseil d’administration de la Sones sur le rapport en date du 20 mars dernier, Macky Sall a signé le document à six jours de son départ.

La cérémonie de signature s’est déroulée en présence de Saad bin Abdallah AL-Nafaie, ambassadeur du Royaume d’Arabie Saoudite à Dakar. Pour le Sénégal, le contrat a été signé par le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Serigne Mbaye Thiam, et le Directeur Général de la Société nationale des eaux du Sénégal (Sones), Charles Fall. Pour Acwa Power, le document porte la signature de Marco Arcelli, Président-Directeur Général.

En ce qui concerne le projet de la Grande Côte, il y a des zones floues, à la lecture du procès-verbal du Conseil d’administration (CA) de la Sones, tenu le 20 mars 2024, portant sur le projet de contrat de partenariat public-privé relatif à la conception, au financement, à la construction, à l’exploitation et à la maintenance d’une usine de dessalement d’eau de mer sur la grande côte du Sénégal.

Selon les explications du Directeur général de la Sones, Charles Fall, cette infrastructure hydraulique sera réalisée en mode Partenariat public-privé (PPP) avec comme promoteur la société saoudienne Acwa Power et s’inscrit dans le cadre du programme d’investissements de la Sones visant à combler le déficit en eau à l’horizon 2030. Le mémorandum d’entente (MOU) a été signé le 26 septembre 2022, un projet d’envergure de 400 000 mètres cubes/jour, à terme, dépassera de loin toutes les unités existantes.

Le représentant de la Primature a relevé 7 insuffisances dans ledit contrat : la violation des délais de convocation de 15 jours, l’absence de pré-conseil, la variation dans le libellé de l’ordre du jour entre la version envoyée par WhatsApp et celle sur papier, l’absence des consultations préalables d’ordre environnemental, territorial, budgétaire, comme exigé par les PPP, l’absence des annexes 6 et 7 évoquées dans le projet de contrat, et la variation des cahiers de charges. Il a également souligné l’absence de l’avis de la DCMP (Direction centrale des marchés publics), renseigne le journal.

Mame Marie THIAM