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CAS ME MOUSSA DIOP : MIMI RÉCLAME LA LIBÉRATION DE SON « COMPAGNON » DE LUTTE CONTRE LE 3E MANDAT

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Dans une publication du X (anciennement Twitter) Aminata Touré a réclamé la libération de Me Moussa Diop, son « compagnon » de lutte contre le troisième mandat.« Maître Moussa Diop, compagnon de lutte de 2012 contre le 3ème mandat du Président Abdoulaye Wade et contre le “ni oui ni non” du Président Macky Sall doit retrouver la liberté sans délai« , a-t-elle écrit.

Le juge d’instruction du 2e cabinet a écroué le candidat à la présidentielle Me Moussa Diop en décembre dernier.

Il a été inculpé pour « Offense au Chef de l’état, actes ou manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, diffusion de fausses nouvelles , diffamation, contrefaçon de sceau de l’état et usages de faux. »

Mame Marie THIAM

Maintien de Macky Sall pour assurer l’intérim : Mamadou Mbodj parle de « parachèvement d’un coup d’Etat constitutionnel »

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Les participants au dialogue national ont proposé à ce que le chef de l’Etat prenne un décret convoquant le corps électoral le 2 juin prochain pour la tenue de l’élection présidentielle et le maintien de Macky Sall pour assurer l’intérim. Mamadou Mbodj coordonnateur de la plateforme F24 rejette cette proposition et parle d’un parachèvement d’un coup d’Etat constitutionnel.

« On ne peut pas être d’accord avec cette loi parce qu’il s’agit d’une violation de la Constitution, d’un parachèvement d’un coup d’Etat constitutionnel ourdi et pas à pas par le président de la République. Comment voulez-vous qu’on accepte cette date-là ? Comment voulez-vous qu’on accepte qu’un ensemble de citoyen puisse décider contre les lois de la cité ? C’est inacceptable. Ils n’ont aucune légalité, aucune légitimité pour le faire », a lancé, mardi, Mamadou Mbodj.

Le coordonnateur de la plateforme F24 promet de se battre pour faire bloc contre le Président Macky Sall. « On va se battre jusqu’à épuisement de tous les moyens disponibles. On ne laissera pas passer cette affaire-là. Nous allons nous battre et faire bloc à ce coup d’Etat constitutionnel », a-t-il confié à la radio Sud FM.

Mame Marie THIAM

Dakar : 15 détenus politiques libérés ce mercredi…

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Nouvelle vague de libération des détenus politiques ce mercredi matin à Dakar. Pour le moment, 15 personnes ont été libérées. Elles étaient poursuivies pour « actes et manœuvres de nature à nuire à la sécurité publique ».

Rappelons que lors du Conseil des ministres du 7 février dernier, le président de la République a demandé au Gouvernement, notamment au ministre de la Justice de prendre les dispositions nécessaires pour matérialiser sa volonté de pacifier l’espace public dans la perspective du dialogue national et de l’organisation de la prochaine élection présidentielle. Ainsi, depuis le jeudi 15 février au moins 300 détenus ont été élargis de prison.

Mame Marie THIAM

Binationalité : Khalifa Sall n’est plus français depuis 2015 (Document)

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Le débat relatif à la double nationalité française de Khalifa Sall, candidat à la Présidentielle, soulevée ces temps derniers, va t-il s’estomper ?

Des informations sur sa carte nationale d’identité française et son passeport français, tous deux délivrés en 2005 et expirés en 2015 auraient argué la nationalité de Khalifa Sall.

Mais, à en croire les derniers développements de cette affaire, Khalifa Sall, leader de Taxawu Sénégal, n’est plus français depuis le 29 octobre 2015 sous Manuels Vals (Premier ministre français du 31 mars 2014 au 6 décembre 2016).

« Sont libérés de leur allégeance à l’égard de la France les Français dont les noms suivent
Khalifa Sall(Khalifa Ababacar), né le 01-01/1956 à Louga Sénégal », lit-on, entre autres, dans le document paraphé par Manuels Vals.

Cette question sur la nationalité française s’inscrit dans un contexte plus large de débats sur la binationalité des candidats à l’élection présidentielle au Sénégal.
Mais également dans un processus électoral bloqué par le président de la République, avec le report de la Présidentielle, et qui, cherche maintenant une nouvelle date via le dialogue national qui s’ouvre ce lundi à Dakar-Diamniadio.

Mame Marie THIAM

THIÈS : LE SORT DE MASSALY ENTRE LES MAINS DU PROCUREUR

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Rebondissement dans l’affaire opposant Mouhamadou Lamine Massaly à Me Ousmane Diagne. Le commissariat central de Thiès, qui avait saisi le pistolet du premier nommé pour violation du l’arrêté du ministre de l’Intérieur, a bouclé son enquête et le dossier a été transmis vendredi dernier au procureur de la République près le tribunal de grande instance de Thiès, note Seneweb.

Mouhamadou Lamine Massaly avait violé l’arrêté du ministre de l’Intérieur portant interdiction de port d’armes, de munitions et d’explosifs sur l’étendue du territoire national, de la période allant du 25 janvier au 14 avril 2024.

Dans une vidéo devenue virale, le président de l’Union pour la nouvelle République (UNR), président du Conseil d’administration de l’Office national de la formation professionnelle (ONFP) et nouvel allié du président Macky Sall, y apparaît armé d’un pistolet, en dépit de l’interdiction générale d’armes durant la campagne électorale.
C’est la raison pour laquelle le pistolet automatique (PA) de Massaly a été saisi et consigné au commissariat central de Thiès.

Maitre Ousmane Diagne, maire de la commune de Thiès-Est, auxiliaire de justice, avait déposé, le lundi 12 février 2024, sur la table du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Thiès, une plainte contre le nommé Mouhamadou Lamine Massaly, pour «tentative de meurtre sur de jeunes manifestants, détention illégale d’arme à feu, mise en danger de la vie d’autrui, violence et voie de fait et trouble à l’ordre public ».

Mamadou Lamine Massaly avait contre-attaqué en traînant en justice son accusateur. Le parquet avait alors confié le dossier à la police pour enquête.

Mame Marie THIAM

Élection présidentielle :16 candidats demandent au Conseil constitutionnel de fixer une date…

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Les 16 candidats membres du FC25 ont choisi l’heure à laquelle le président Macky Sall les a invités à dialoguer pour saisir le Conseil constitutionnel. De manière individuelle, ils ont posé des requêtes sur la table des sept sages, ce lundi 26 février. Des requêtes « aux fins de constater et de remédier à la carence du président de la République qui s’abstient de fixer la date de l’élection présidentielle en refusant ainsi de donner plein effet à la décision du Conseil constitutionnel nº1/C/2024 du 15 février 2024 ».

Dans les 16 requêtes déposées, ces candidats demandent au Conseil constitutionnel de choisir une date.
Porte-parole du jour, Thierno Alassane Sall explique : « Le Conseil avait poliment invité le président Macky Sall à fixer une date. De ce qu’on dit, le juge n’invite pas. Ils doivent ordonner pour n’avoir pas été suffisamment clairs avec quelqu’un qui n’aime pas la clarté. Cette fois, il faut que le Conseil soit très très clair et précis. Monsieur Macky doit fixer la date, sinon le Conseil lui-même doit le faire. Le Conseil a la compétence et la capacité de le faire devant le refus manifeste et la carence de Macky Sall. »

Autre demande, l’anticipation « sur les risques de crise en constatant que monsieur Macky Sall peut nous amener jusqu’au 2 avril sans qu’on ait un président installé ». D’après les 16 candidats, le Conseil constitutionnel doit agir afin d’éviter « le vœu qu’il (Macky Sall) a de faire un intérim au-delà du 2avril et anticiper pour éviter que le Sénégal soit dans une crise ».

Thierno Alassane Sall, au nom du FC25, a estimé que « si le Conseil ne prenait pas toutes les décisions de droit qui s’imposent, il participerait au chaos qui est prévisible ».

C’est donc de la responsabilité « du conseil, étant le régulateur de l’élection présidentielle, de prendre les dispositions qui s’imposent ».

Mame Marie THIAM

Dialogue avec Macky : les vérités du chef du protocole de Sonko

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Le chef du protocole de Ousmane Sonko, Djiby Guèye, dément tout rabibochage entre son patron et le Président Macky Sall. Dans Libération, il juge «sans fondement» les informations faisant état d’un rapprochement entre le président de Pastef et le chef de l’État.

Il dit : «C’est vrai qu’un chef de protocole doit être une tombe, mais parfois il est bon de rétablir la vérité. Des personnes comme Serigne Bara Dolly, par égard à son nom, ne devrait pas dire des contrevérités. Il n’a vu qu’une seule fois Ousmane Sonko et c’était devant un avocat. On l’avait d’ailleurs remis à sa place.»

Djiby Guèye de marteler : «Quand Ousmane sera libre, il répondra à tout ça. Il n’y a aucun projet de dialogue avec le Président Macky Sall.»

Le chef du protocole de Sonko révèle que le président de Pastef, incarcéré à la prison du Cap Manuel «se porte comme un charme». «Il lit des livres, écrit et fait du sport», ajoute-t-il.

Mame Marie THIAM

Dialogue national au CICAD : Macky Sall déjà à Diamniadio

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Le Président sénégalais Macky Sall est déjà arrivé à Diamniadio pour la rencontre de ce jeudi en vue de l’élection présidentielle ainsi que des arrangements postérieurs au 02 avril, date marquant la fin de son mandat.

Pour la rencontre toutes les mesures de sécurité ont été mises en place au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD), avec un filtrage des entrées. La presse a été autorisée à accéder au site à partir de 13 heures. En plus du Président Macky Sall qui est arrivé sur les lieux vers 11h04mn, des représentants politiques, dont Cheikh Abdou Bara Doly et ceux du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) sont également présents bien avant l’heure prévue pour la réunion.

A noter que sur les 19 candidats initialement retenus par le Conseil Constitutionnel, 16 ont d’ores et déjà exprimé leur refus de participer à ce dialogue ainsi qu’à la concertation prévue avant l’ouverture officielle du dialogue.

Mame Marie THIAM

Levée des sanctions de la CEDEAO sur les Etats de l’AES : une décision bien accueillie dans l’organisation

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« C’est une très bonne décision. Quelque part, certains types de sanctions de fermer carrément les frontières, c’est punir les populations qui ne sont pas fautifs », a d’emblée fait savoir Mamadou Thior sur la question. Et de poursuivre,  » je comprends la CEDEAO. Parce qu’il ne faut pas encourager et les coups d’Etat militaires et constitutionnels. Comme on en voit souvent dans certains pays les histoires de troisième mandat et autres sont de mise. Je pense que c’est un signal que la CEDEAO a voulu envoyer. Pour que ces putschistes ne s’éternisent pas au pouvoir ».

« Je l’ai dit et je l’ai condamné parce que simplement, les militaires au Mali, Niger et Burkina n’entendent pas quitter le pouvoir très tôt. Ils ont pris le pouvoir en pensant qu’ils peuvent régler le problème. Donc, il ne faut pas rester là pendant 5 ans. Ils veulent s’éterniser au pouvoir et sur ce, il faut soutenir la CEDEAO », pense monsieur Thior.

Dans le souci de préserver l’organisation sous régionale, le général Yacubu Gowon, ancien président du Nigéria et membre fondateur de la CEDEAO, à lancé un appel pathétique pour que la CEDEAO n’éclate pas. La CEDEAO, en comparaison des autres organisations régionales (la Sadec, l’union arabe du Magreb etc.) est l’organisation communautaire la plus aboutie. L’exemple le plus concret est le passeport de la CEDEAO qui permet de circuler en toute liberté dans l’espace. Ce qui n’existe pas ailleurs. Cet arguement a tout le temps été brandi par les officiels de la CEDEAO.

« Les Etats du Sahel n’ont plus aucune raison à ne pas revenir à la CEDEAO. S’ils ne le font pas, ils vont confirmer mes soupçons. C’est-à-dire que ces militaires veulent s’éterniser au pouvoir. Je pense qu’ils doivent accepter la main tendue de la CEDEAO » a confié monsieur Thior. .

Mame Marie THIAM

Dialogue : Idrissa Seck (aussi) décline l’invitation de Macky Sall…

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Le président de Rewmi Idrissa Seck rejoint la large front contre le dialogue de Macky Sall. Son mandataire Ass Babacar Gueye affirme que son leader n’y participera pas.

« Oui, je le confirme ! Le Président Idrissa Seck, qui met toujours en avant l’intérêt supérieur de la Nation, ne sera pas présent à ce soi-disant dialogue pour cautionner un éventuel coup d’État constitutionnel savamment orchestré par un Président en fin de règne, et à qui, le Peuple a fini de tout donner », a-t-il informé.

Ass Babacar Gueye nous apprend que la position de son candidat n’est pas nouvelle. « (…) Après son enregistrement à la RTS le vendredi 2 février 2024, à l’avant veille du démarrage de la campagne électorale, le candidat Idrissa SECK, de manière audible, avait déjà clarifié sa position sur la situation politico-sociale du Sénégal », a-t-il rappelé.

M. Gueye a regretté que son « Président Idrissa Seck, l’éternel incompris, fait partie des plus grandes victimes de cette nouvelle tendance à l’ère des fake news et de la manipulation partisane ».

Mame Marie THIAM